Page 147321 des 1 477 892 résultats trouvés :
| France, Cour de cassation, Chambre civile 1, 14 décembre 1960, JURITEXT000006954894
MANDAT - ETENDUE - PREUVE - PREUVE TESTIMONIALE LORSQUE LA REALITE D'UN MANDAT N'EST PAS CONTESTEE, SON ETENDUE PEUT ETRE DETERMINEE PAR... SUR LE PREMIER MOYEN : ATTENDU QUE L'ARRET CONFIRMATIF ATTAQUE A DEBOUTE JEAN X... DE SA DEMANDE EN NULLITE D'UN BAIL DE LOCAUX COMMERCIAUX DEPENDANT D'UN IMMEUBLE APPARTENANT A FEU ELISEE X..., SON PERE, BAIL SIGNE, DU VIVANT DE CE DERNIER, PAR LA DAME X..., AU MOTIF QUE CELLE-CI AVAIT AGI EN VERTU D'UN MANDAT DE SON MARI ; QUE LE POURVOI FAIT GRIEF A LA COUR D'APPEL D'AVOIR CONSIDERE QUE L'EXISTENCE DE CE MANDAT RESULTAIT D'UN ENSEMBLE DE PRESOMPTIONS, SANS S'ETRE REFEREE A AUCUN DOCUMENT...
| France, Cour de cassation, Chambre civile 1, 14 décembre 1960, JURITEXT000006954895
SOCIETE DE FAIT - SOCIETE ENTRE EPOUX - EXISTENCE - MARI AYANT AVANCE DES FONDS A SA FEMME POUR L'ACQUISITION D'UNE PHARMACIE ET AYANT... SUR LE PREMIER MOYEN : ATTENDU QUE RATIER ET LA DEMOISELLE Z..., ALORS ETUDIANTE EN PHARMACIE, SE SONT MARIES EN 1934 SOUS LE REGIME DE LA SEPARATION DE BIENS ; QU'EN 1941 LA JEUNE FEMME A ACHETE UNE OFFICINE A PARIS AVEC DES FONDS QUE LUI AVAIT REMIS SON EPOUX ; QU'EN 1947 ELLE A REVENDU CETTE OFFICINE ET QUE LE PRIX A SERVI A EN ACQUERIR UNE AUTRE A RUMILLY, OU LE MENAGE ETAIT ALLE SE FIXER ; QU'EN 1952 LE DIVORCE A ETE PRONONCE AUX TORTS DU MARI ; QUE DEVANT LE NOTAIRE DESIGNE POUR...
| France, Cour de cassation, Chambre civile 1, 14 décembre 1960, JURITEXT000006955038
ACQUIESCEMENT - CASSATION - EXECUTION DE LA DECISION - PAYEMENT DE LA CONDAMNATION - ACCEPTATION SOUS RESERVES - RESERVES LIMITEES AU... STATUANT SUR LA SECONDE FIN DE NON-RECEVOIR : ATTENDU QU'IL N'EST PAS CONTESTE QUE LES CONSORTS Y... ONT SIGNIFIE A LA SOCIETE SIGRAND LE 12 AVRIL 1954 L'ARRET ATTAQUE PAR EUX LE 4 DECEMBRE 1957 ; QUE, LE 20 JUILLET 1954, ILS ONT RECU, CHACUN, DE LA SOCIETE SIGRAND, PAYEMENT DE LA SOMME DE 7.649.186 FRANCS "EN COMPTE ET A VALOIR SUR LE REGLEMENT PREVU PAR LES TERMES DU JUGEMENT DU 16 JANVIER 1952, ET CEUX DE L'ARRET DE LA COUR DU 22 FEVRIER 1954" ; QUE LES RESERVES FAITES DANS LE RECU DE CETTE...
| France, Cour de cassation, Chambre civile 1, 14 décembre 1960, JURITEXT000006955039
ACTIONS POSSESSOIRES - REINTEGRANDE - CONDITIONS - DETENTION EXCLUSIVE - ACTES DE POSSESSION EXERCES CONCURREMMENT PAR LES DEUX PARTIES... SUR LE MOYEN UNIQUE : ATTENDU QU'IL EST FAIT GRIEF AU JUGEMENT ATTAQUE D'AVOIR REPOUSSE L'ACTION EN REINTEGRANDE DIRIGEE PAR RANNOU CONTRE SON VOISIN VAILLANT QUI AVAIT ABATTU ET ENLEVE DU BOIS SUR LE TALUS SEPARANT LEURS PROPRIETES CONTIGUES, AU MOTIF QUE L'ACTION EN COMPLAINTE FORMULEE EN MEME TEMPS, ET A UN AUTRE TITRE PAR LE DEMANDEUR AU POURVOI AYANT ETE REJETEE COMME PROMISCUE, L'ACTION EN REINTEGRANDE N'ETAIT PAS RECEVABLE, ALORS QUE CE N'EST PAS LA POSSESSION QUI JUSTIFIE L'ACTION EN...
| France, Cour de cassation, Chambre civile 1, 14 décembre 1960, JURITEXT000006955040
1° DONATION - DONATION ENTRE EPOUX - REVOCATION - REVOCATION TACITE - PREUVE 1° LA REVOCATION DES DONATIONS ENTRE EPOUX PEUT RESULTER DE... SUR LE PREMIER MOYEN : VU L'ARTICLE 1096 DU CODE CIVIL ; ATTENDU QUE LA REVOCATION DES DONATIONS ENTRE EPOUX B... RESULTER DE TOUS LES FAITS OU ACTES DE L'EPOUX X... QUI INDIQUENT D'UNE MANIERE NON EQUIVOQUE SON INTENTION DE REVOQUER SA DONATION ; ATTENDU QU'UN ARRET DEFINITIF DE LA COUR D'APPEL DE PARIS DU 22 AVRIL 1955 A RECTIFIE LA DATE DU DECES DE LA DAME E..., MORTE EN DEPORTATION, EN DISANT QUE CE DECES, PRECEDEMMENT FIXE AU 15 JUILLET 1944, DEVAIT ETRE FIXE AU 7 DECEMBRE 1943...
| France, Cour de cassation, Chambre commerciale, 14 décembre 1960, JURITEXT000006955064
BAIL COMMERCIAL DECRET DU 30 SEPTEMBRE 1953 - REPRISE - REPRISE POUR RECONSTRUIRE - LOI DU 5 JANVIER 1957 - DECISION ANTERIEURE PASSEE... SUR LE MOYEN UNIQUE PRIS EN SES DEUX BRANCHES : ATTENDU QUE, SELON LES ENONCIATIONS DE L'ARRET ATTAQUE LYON, 28 MAI 1958 ET DU JUGEMENT, DONT LA COUR D'APPEL A ADOPTE LES MOTIFS, MAUPEU ETAIT LOCATAIRE D'UN IMMEUBLE A USAGE COMMERCIAL, APPARTENANT A LAURENT ; QUE CE DERNIER AYANT REFUSE LE RENOUVELLEMENT DU BAIL POUR DEMOLIR ET RECONSTRUIRE L'IMMEUBLE, UN PRECEDENT ARRET, EN DATE DU 10 JANVIER 1956, A VALIDE L'OFFRE FAITE PAR LAURENT DE PAYER A MAUPEU UNE INDEMNITE EGALE A TROIS ANNEES DE...
| France, Cour de cassation, Chambre commerciale, 14 décembre 1960, JURITEXT000006955065
1° SOCIETE A RESPONSABILITE LIMITEE - ASSOCIES - CONTROLE DE LA GESTION - DROIT DE COMMUNICATION - INVENTAIRE - DEFINITION 1° UNE... SUR LES TROIS PREMIERS MOYENS REUNIS : ATTENDU QUE, SELON LES MOTIFS ET LES QUALITES DE L'ARRET ATTAQUE PARIS, 16 DECEMBRE 1957, LES PORTEURS DE PARTS COMPOSANT LA SOCIETE A RESPONSABILITE LIMITEE "CORNU, PRADAL ET ANDRE" QUI A POUR OBJET LES COURTAGES D'ASSURANCES AINSI QUE LA PUBLICATION D'UN JOURNAL ET D'UNE REVUE, SE SONT DIVISES EN DEUX GROUPES HOSTILES, DONT LE PLUS IMPORTANT SOUTIENT LES DEUX GERANTS EN EXERCICE PRADAL ET ANDRE, TANDIS QUE L'AUTRE EST DIRIGE PAR CORNU, ANCIEN GERANT...
| France, Cour de cassation, Chambre civile 2, 14 décembre 1960, JURITEXT000006955370
DIVORCE-SEPARATION DE CORPS - CAUSES - EXCES, SEVICES, INJURES GRAVES - EXCUSES - DIVORCE AUX TORTS RECIPROQUES EN PRONONCANT UN DIVORCE... SUR LE PREMIER MOYEN : ATTENDU QU'IL EST REPROCHE A L'ARRET CONFIRMATIF ATTAQUE D'AVOIR, PAR ADOPTION PURE ET SIMPLE DES MOTIFS DES PREMIERS JUGES, PRONONCE LE DIVORCE AUX Y... DE DAME X..., SANS REPONDRE AUX CONCLUSIONS PRISES POUR LA PREMIERE FOIS DEVANT LA COUR D'APPEL PAR LADITE DAME QUI SOUTENAIT QUE SON ATTITUDE ETAIT EXCUSEE PAR LE COMPORTEMENT DE SON MARI ; MAIS ATTENDU QU'EN ADOPTANT LES MOTIFS DES PREMIERS JUGES QUI AVAIENT PRONONCE LE DIVORCE AUX Y... DE LA FEMME ET LA SEPARATION...
| France, Cour de cassation, Chambre civile 2, 14 décembre 1960, JURITEXT000006955371
DIVORCE-SEPARATION DE CORPS - FINS DE NON-RECEVOIR - ADULTERE DE L'EPOUX DEMANDEUR NON L'ADULTERE DE LA FEMME NE CONSTITUE PAS UNE FIN DE... SUR LE PREMIER MOYEN : ATTENDU QU'IL EST FAIT GRIEF A L'ARRET INFIRMATIF ATTAQUE D'AVOIR PRONONCE LE DIVORCE D'ENTRE LES EPOUX X... AU PROFIT DE LA DAME X..., EN SE FONDANT SUR UN CONSTAT, DRESSE DE NUIT PAR UN HUISSIER COMMIS ET EN SE BORNANT A RELEVER QUE LA PRESENCE NOCTURNE D'UNE FEMME, AU DOMICILE DU MARI REVETAIT UN CARACTERE GRAVEMENT INJURIEUX POUR L'APPELANTE, ALORS QUE LE POUVOIR RECONNU A UN MAGISTRAT PAR L'ARTICLE 54 DU DECRET DU 30 MARS 1808, DE PRENDRE TOUTES MESURES URGENTES...
| France, Cour de cassation, Chambre civile 2, 14 décembre 1960, JURITEXT000006955372
RESPONSABILITE CIVILE - CHOSES INANIMEES - ARTICLES 1382 ET 1384 DU CODE CIVIL - RESPONSABILITE DETERMINEE SOUS LE RAPPORT DE L'ARTICLE... SUR LE MOYEN UNIQUE, PRIS EN SES DEUX BRANCHES : ATTENDU QU'IL RESULTE DE L'ARRET ATTAQUE QU'UNE COLLISION S'EST PRODUITE A UN CARREFOUR, ENTRE LA VOITURE AUTOMOBILE CONDUITE PAR PERRET ET LA MOTOCYCLETTE MONTEE PAR PECCOLO ; QUE CELUI-CI FUT BLESSE ET SA MACHINE DETERIORE ; QU'IL A, SUR LE FONDEMENT DES ARTICLES 1382 ET 1384 DU CODE CIVIL, ASSIGNE PERRET COMME RESPONSABLE DU DOMMAGE PAR LUI SUBI ; QUE CE DERNIER S'EST PORTE RECONVENTIONNELLEMENT DEMANDEUR EN REPARATION DES DEGATS MATERIELS...